Anecdotes érotiques

Catégories : Humour, FESSESTORY sexe, BDSM,libertin, ABDL, fessée
il y a 7 ans

Celle d’Harmonie

Je m’appelle Harmonie, vingt sept ans, mariée avec Jérôme, un inspecteur de police de cent kilos, pour un mettre quatre vingt dix. Il est âgé de trente ans.

Malgré ses mensurations, au lit, c’est une calamité, à tel point, qu’il n’est pas rare qu’après une relation expédiée, je me retire à la salle de bains. Là, je décalotte mon proéminent clitoris que j’excite jusqu’à l’orgasme. Ma chatte n’est pas en reste. Elle avale mes doigts sans problème, aidée en ça par mon abondante mouille. Pour finir, je me gode, pour atteindre un second orgasme. Une heure après, je rejoints mon époux, qui dort les poings fermés, et qui ne s’est pas aperçu de mon absence.

Cependant, depuis quelques jours, j’ai un doute quant à sa fidélité, ce qui expliquerait qu’il me néglige au lit.

En effet, tous les soirs, vers vingt deux heures, il sort, invoquant un rendez-vous avec son indic. Un soir, je décide de le suivre. Je m’habille assez sexy, au cas où son rendez-vous serai dans une boite de nuit. Jupe courte, chemisier blanc ouvert, pas de soutien gorge, et un blouson rouge. Le tout monté sur des escarpins de huit centimètre

Je le vois prendre une petite ruelle, et renter dans ce que je pense être un hangar désaffecté. J’attends quelques minutes, quand soudain, j’entends de cris.

-Ahou…ahou…aie…aie…

Je m’approche, et découvre une scène hallucinante. Mon mari, entièrement nu, est couché sur les genoux d’un énorme black, nu lui aussi. Ce dernier est en train de lui mettre une fessée. Pire, il lui a tiré les couilles qui dépassent de ses fesses, et, de temps en temps, il lui met une claque, volontairement déviée de sa trajectoire. Ce qui explique les cris de douleurs de mon époux.

-Tu ne m’as pas porté ce que tu me devais, gronde le black. Alors je vais jouer avec toi. Je vais t’enculer jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter.

-Non, pleure mon mari, j’ai oublié…s’il te plait, ne tape plus sur mes œufs.

Un doigt pervers pénètre le petit trou de mon mari, qui gémit de douleur. Et ce n’est qu’un doigt. Vu ce qui pend entre ses jambes du black, je m’attends au pire pour lui. Par ce que le black tient sa promesse. Il prend mon époux par les hanches, l’empale sur sa grosse queue, face à lui, et le soulève de terre. Mon mari passe ses bras autour du cou de son indic, et noue ses jambes dans son dos.

-Aie…assez…pas ça, tu me fais mal, ta queue est trop grosse…poses moi…

-Tais-toi, ordonne le grand black…tu préfères me tailler une pipe…ok. A genoux.

Je suis sidérée de voir mon mari s’exécuter, et engloutir l’énorme bite. C’est le black, qui de ses mains appuyées sur la tête de Jérôme, règle les mouvements.

Au bout de cinq minutes, le black se vide copieusement les couilles dans sa bouche, en poussant des « han » de bucheron. Je vois la glotte de mon mari monter et descendre. Le salaud, il a tout avalé.

Cette scène pas tellement excitée, que je sens une agréable chaleur dans mon ventre. Je me cache derrière un pilier quand mon mari passe en courant devant moi, tenant ses couilles dans ses mains, en hurlant de douleur.

-Aie…aie…ce salaud, il ma serré les glaouis…aie…aie…j’ai mal…

Quant à moi, je dois tirer cette affaire au clair.

Je m’approche du gros black, me campe devant lui, jambes légèrement écartées, mains sur les hanches. Il hausse la tête, me découvre.

-Enfoiré…qu’est-ce que vous avez fait à mon mari.

-Bonsoir madame, je m’appelle Fred. C’est vrai, j’y suis allé un peu fort ce soir. Il n’a pas tenu paroles. D’habitude, ça se passe mieux…mais il aime quand je l’encule.

Je ne peux me retenir, et lui envoie une gifle. Dans un réflexe incroyable, il bloque mon poignet. L’autre bras suit le même chemin. Je me retrouve les poignets bloqués, impuissante.

Sans un mot, il avance une main entre mes cuisses, écarte mon string, et caresse ma fente, enfonce un doigt.

-Connard, arrête ça…pas ça salaud.

-Et pourquoi pas ça ?

-Ma petite chatte va être toute mouillée après…ah salaud…

-Détendez-vous, sourit-il. Elle l’est déjà mouillée. Vous n’aimez pas vous faire caresser par un black?

-Hum…si j’aime…, mais ce n’est pas bien, je suis mariée…hum…hum…

Prise par tant d’excitation, je me surprends à ôter mon chemisier. Mes seins jaillissent sur son visage. Il l’est prends en main, suce les bouts durcit par le désir.

-Salaud, t’en as pas assez avec mon mari…tu veux aussi te taper sa femme….

-Regardez comme je bande, dit-il, ça vous direz de vous asseoir sur ma bite.

Je n’ai pas le choix. II me prend par les hanches et me force à m’y empaler dessus.je ne peux retenir un cri de plaisir. La suite est terrible. Il me prend dans toutes les positions, missionnaire, levrette. Il m’encule, m’oblige à lui tailler des pipes. Hystérique, j’avale tout. Je n’en fini pas de hurler de plaisir.

-Ouah…tu m’as mis le compte salaud…Quel baiseur.

-Heureux que ça t’es plu. Comme ton mari…en plus, il est cocu maintenant

-Justement, à ce sujet, ça ne te dirai pas de passer à la maison. Tu pourrais t’amuser avec lui, l’enculer, te faire tailler des pipes. Devant moi. Je pourrais participer à vos jeux. Ca me plairait tellement de voir mon époux soumis à un black. Bien sur, j’attendrais mon tour avec impatience.

-T’aimes la queue toi, hein, salope.

-Surtout la tienne, elle est tellement grosse, et travailleuse…allez, tu me mets un autre coup avant de partir.

Pour la deuxième fois, j’ai un orgasme terrible.

Je rentre chez moi, heureuse et satisfaite, d’autant qu’il ma dit qu’il passerait le weekend à la villa. Il me tarde de voir la tête de mon mari quand il va ouvrir la porte.

Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement